Search for: paramètres de confidentialité

Les paramètres de confidentialité de Twitter

Si vous avez un compte Twitter, modifiez vos paramètres de confidentialité maintenant si vous ne l’avez jamais fait !

Twitter a récemment annoncé un changement dans sa politique de confidentialité. Ce changement permet de donner aux annonceurs plus d’informations à votre sujet. Avec iProtego, découvrez les paramètres que vous devez modifier si vous souhaitez préserver la confidentialité de vos données.

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Vie privée : MySpace simplifie ses paramètres de confidentialité

Alors que l’étau de resserre autour de Facebook, MySpace a décidé de montrer l’exemple en assurant qu’il allait rapidement simplifier les options de protection des données personnelles de ses membres.

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Comment paramétrer la confidentialité de votre profil Facebook

.Alors que dans la plupart des réseaux sociaux vos paramètres de confidentialité se trouvent dans le panneau dédié à la protection de vos données personnelles, sur Facebook, tout cela est éparpillé dans plusieurs endroits sur votre profil et votre compte.

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Gérer vos paramètres et outils de confidentialité

Premièrement, dans les paramètres et outils de de confidentialité, la simplicité est de mise avec deux encarts :

  • Qui peut voir mes contenus ?
  • Qui peut me trouver lors d’une recherche (sur Facebook et les moteurs de recherche)

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Fiche pratique : La confidentialité sur Facebook

La protection de la vie privée à l’heure des réseaux sociaux suscite un bon nombre d’interrogations. Chaque jour, des milliers de photos sont postées sur Facebook. A première vue, cela ne semble poser aucun problème. Sauf qu’elles le sont la plupart du temps sans le consentement des intéressés. Inutile de préciser que les conséquences sur la vie privée ou professionnelle peuvent être désastreuses. En effet, certains employés se sont fait licenciés suite à la découverte par leurs employeurs de statuts ou de photos compromettantes.

La jurisprudence considère d’ailleurs qu’un licenciement est valable lorsque le contenu litigieux imputable au salarié est accessible aux « amis des amis » (Jugement du conseil des prud’hommes de Boulogne-Billancourt du 19 novembre 2010). Faites attention à vos paramètres de confidentialité !

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Quid de la confidentialité sur Viadeo

Sur Viadeo aussi vous pouvez protéger vos données avec les paramètres de confidentialité. Si vous voulez chercher du travail sans que votre patron ne le sache, si vous cherchez des clients et ne voulez être visible que par un certain nombre ou si vous faites simplement de la veille concurrentielle, il faut protéger vos données. Continue Reading

Quid de la confidentialité sur Twitter

La première chose à savoir concernant Twitter, c’est que par principe, tous les tweets sont visibles par tout le monde (que l’on soit inscrit ou non au service). D’autre part, les moteurs de recherches référencent plutôt bien les contenus publiés sur Twitter, et si un tweet est relayé par plusieurs personnes, il sera d’autant plus difficile de le supprimer (en fait c’est impossible).

Du fait de sa simplicité, Twitter ne propose pas énormément de paramètres de confidentialité comme Facebook.

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Quid de la confidentialité sur Facebook

Ce billet est le premier d’une série d’articles à venir concernant la gestion des données et de la confidentialité sur des réseaux sociaux connus (Facebook, Twitter, Viadeo, Linkedin…).

Alors que le web n’a jamais été aussi social, les internautes commencent à prendre conscience de l’importance de leur identité numérique et de l’impact que peut avoir leur e-réputation sur leur vie personnelle et professionnelle. Continue Reading

Cybersécurité : Comprendre les Principales Menaces et Comment s’en Protéger

Quelles sont les principales cyberattaques et menaces en ligne en 2025 ?

La décennie 2020 a vu l'évolution rapide des cyberattaques, et en 2025 les menaces en ligne ont gagné en sophistication. Parmi les vecteurs les plus courants figurent les ransomwares, les attaques par phishing, les attaques par force brute et les compromissions de la chaîne d'approvisionnement logicielle. Les ransomwares continuent de chiffrer les systèmes et de demander des rançons, ciblant non seulement les grandes entreprises mais aussi les collectivités locales, les établissements de santé et les PME. Les attaquants utilisent des modes opératoires plus automatisés et exploitent des services accessibles via Internet pour propager leurs campagnes.

Le phishing reste l'une des méthodes les plus efficaces pour dérober des identifiants et accéder aux systèmes. Les courriels et messages frauduleux sont désormais hyper-personnalisés, exploitant des données publiques ou volées pour tromper les destinataires. Les attaques de type spear-phishing et business email compromise (BEC) permettent de contourner les contrôles classiques et de réaliser des fraudes financières ou des accès non autorisés aux informations sensibles.

Les attaques ciblant la chaîne d'approvisionnement software ont pris de l'ampleur : en compromettant un composant logiciel ou un fournisseur tiers, les cybercriminels peuvent diffuser des logiciels malveillants auprès d'un grand nombre d'utilisateurs légitimes. Cette menace met en évidence l'importance de contrôler non seulement ses propres systèmes mais aussi la sécurité des partenaires et fournisseurs.

D'autres menaces à surveiller incluent l'exploitation de failles zero-day — vulnérabilités inconnues des éditeurs — et les attaques combinant intelligence artificielle pour améliorer le phishing ou contourner les mécanismes de détection. Les objets connectés (IoT) mal configurés constituent des portes d'entrée supplémentaires pour infiltrer des réseaux domestiques ou professionnels. Enfin, l'espionnage industriel et la cybercriminalité financière continuent de cibler la sécurité des données et la protection des informations personnelles.

Comprendre ces différents scénarios est essentiel pour prioriser les efforts de défense. Une cartographie des risques adaptée à votre organisation, la surveillance des menaces (threat intelligence) et une mise à jour continue des connaissances techniques permettent d'anticiper les nouvelles formes d'attaques et de réduire l'impact des incidents.

Mesures essentielles pour renforcer la sécurité des données et se protéger des attaques

Pour limiter l'impact des cyberattaques et des autres menaces en ligne, il est indispensable d'adopter une approche multi-couches de la sécurité. La première ligne de défense repose sur la gestion rigoureuse des accès : appliquer le principe du moindre privilège, mettre en place une authentification multifacteur (MFA) pour tous les comptes sensibles et utiliser des politiques de mot de passe robustes. L'authentification adaptative, qui combine le comportement utilisateur et le contexte de connexion, renforce encore la protection contre les accès frauduleux.

La sécurité des données passe par le chiffrement, en transit et au repos. Chiffrer les bases de données, les sauvegardes et les communications réseau réduit considérablement la valeur d'un vol de données. Parallèlement, la segmentation réseau empêche la propagation latérale d'un intrus et limite les dégâts en cas de compromission d'une partie de l'infrastructure.

La maintenance proactive est également cruciale : appliquer rapidement les correctifs (patch management), surveiller les logs et mettre en place des systèmes de détection et de réponse aux incidents (EDR/SIEM). Ces outils, combinés à des processus de réponse documentés, permettent d'identifier et de contenir une attaque avant qu'elle ne devienne catastrophique. La sauvegarde régulière et tester la restauration garantissent la résilience face aux ransomwares et autres pertes de données.

La formation des employés est une mesure souvent négligée mais primordiale. Un programme de sensibilisation au phishing, à la sécurité des mots de passe et aux bonnes pratiques de manipulation des informations personnelles réduit considérablement les erreurs humaines, qui restent l'un des principaux vecteurs d'attaque. Simuler des campagnes de phishing et fournir un retour constructif augmente l'efficacité de ces formations.

Enfin, sécuriser la chaîne d'approvisionnement et les services tiers est indispensable : auditer les fournisseurs, exiger des engagements contractuels sur la sécurité et appliquer des contrôles continus. Intégrer la cybersécurité dès la conception (security by design) des projets logiciels et matériels minimise les vulnérabilités en amont. Ces mesures, appliquées de façon cohérente, améliorent la sécurité des données et la protection des informations personnelles face aux menaces actuelles.

Bonnes pratiques et outils pour protéger vos informations personnelles et la réputation en ligne

Protéger la protection des informations personnelles et la réputation en ligne exige des pratiques concrètes au quotidien, tant pour les particuliers que pour les organisations. Pour les individus, commencer par limiter les données partagées sur les réseaux sociaux, configurer correctement les paramètres de confidentialité et utiliser des mots de passe uniques pour chaque service est fondamental. Les gestionnaires de mots de passe permettent de stocker et générer des mots de passe complexes sans réutilisation, réduisant ainsi le risque en cas de fuite.

Activer l'authentification multifacteur sur les comptes sensibles (email, banques, services cloud) est une des mesures les plus efficaces contre les accès non autorisés. Pour protéger la sécurité des données sur les appareils, maintenir les systèmes d'exploitation et applications à jour, activer le chiffrement des disques et utiliser des solutions antivirus/antimalware modernes est recommandé. Pour les mobiles, vérifier les permissions des applications et éviter les installations depuis des sources non vérifiées réduit la surface d'attaque.

Les outils de surveillance et d'alerte pour la réputation en ligne permettent de détecter rapidement la diffusion d'informations personnelles ou d'avis malveillants. Mettre en place une veille régulière (alerts Google, solutions spécialisées) aide à identifier les faux avis, les impersonations ou les fuites de données. En cas d'incident, avoir une procédure de communication transparente et réactive, ainsi qu'un plan d'action technique, limite les dommages pour la réputation et la confiance des clients.

Les entreprises doivent également penser à la gouvernance des données : classer les données selon leur criticité, limiter l'accès, anonymiser ou pseudonymiser les informations personnelles lorsque cela est possible, et respecter les cadres légaux (RGPD et autres régulations). Une politique claire de conservation et de suppression des données réduit le risque lié aux stocks d'informations obsolètes.

Enfin, faire appel à des prestataires spécialisés (tests d'intrusion, audits de sécurité, services de remediation) permet de bénéficier d'un regard extérieur pour identifier les vulnérabilités et améliorer la posture de sécurité. Pour les organisations soucieuses de leur e-réputation, combiner ces mesures techniques avec une stratégie proactive de gestion des avis clients et de communication protège à la fois les données et l'image de marque face aux menaces en ligne.

Données personnelles : Conseils pratiques pour les protéger en ligne

Pourquoi la protection des données personnelles est essentielle en 2025

La protection des données personnelles est devenue une préoccupation majeure pour tous les utilisateurs d’internet. En 2025, la quantité d’informations partagées — que ce soit volontairement via les réseaux sociaux, implicitement via les objets connectés ou automatiquement via les services en ligne — augmente chaque année. Comprendre pourquoi la protection des données personnelles est essentielle aide à adopter des comportements responsables. Les données personnelles ne se limitent pas au nom et à l’adresse : elles incluent les identifiants de connexion, l’historique de navigation, les données de localisation, les informations bancaires et même certaines métadonnées qui, une fois croisées, permettent de dresser des profils précis.

La confidentialité des informations est menacée par plusieurs vecteurs : piratage, collecte excessive par des plateformes, fuites de données chez des tiers et techniques de traçage publicitaire avancées. Les conséquences peuvent être graves : usurpation d’identité, fraudes financières, chantages, ou encore discrimination basée sur des profils comportementaux. La réglementation a progressé (RGPD en Europe et lois similaires ailleurs), mais la loi ne suffit pas à elle seule : la sécurité en ligne dépend aussi des pratiques individuelles et des choix technologiques.

Adopter des mesures proactives renforce la résilience face aux risques. Par exemple, limiter les données partagées, vérifier les paramètres de confidentialité sur chaque service utilisé et choisir des fournisseurs qui respectent la vie privée réduit l’exposition. Il est également crucial d’adopter une hygiène numérique : mots de passe robustes, authentification multi-facteurs (MFA), mises à jour régulières des logiciels et prudence face aux demandes d’accès à vos données.

Pour les entreprises et les responsables de plateforme, la protection des données personnelles implique une approche par défaut et par conception : minimisation des données collectées, chiffrement des données en transit et au repos, audits réguliers et formation des équipes. Pour les utilisateurs, comprendre les pratiques de collecte et les droits (accès, rectification, suppression, portabilité) permet d’exiger un meilleur traitement et d’exercer un contrôle réel sur ses informations.

En somme, la protection des données personnelles et la sécurité en ligne ne sont pas uniquement des enjeux techniques : elles réclament une prise de conscience continue et des actions concrètes, individuelles et collectives, pour préserver la confidentialité des informations à l’ère du numérique.

Conseils pratiques et gestes simples pour améliorer votre sécurité en ligne

La mise en place de bonnes pratiques quotidiennes est un pilier essentiel pour la protection des données personnelles et la sécurité en ligne. Voici une série de conseils pour utilisateurs, applicables immédiatement, qui renforcent votre confidentialité des informations et réduisent les risques.

Commencez par revoir vos mots de passe : utilisez des mots de passe uniques et longs pour chaque compte, idéalement générés et stockés dans un gestionnaire de mots de passe réputé. Activez l’authentification multi-facteurs (MFA) partout où c’est possible, en privilégiant les méthodes basées sur des clés physiques ou des applications d’authentification plutôt que les SMS, qui peuvent être interceptés.

Limitez la quantité d’informations que vous partagez en ligne. Sur les réseaux sociaux, paramétrez la visibilité de vos publications et vos informations personnelles (date de naissance, adresse, numéro de téléphone). Évitez de publier des informations sensibles ou des photos qui pourraient révéler des détails privés ou faciliter une usurpation d’identité. Contrôlez également les permissions des applications sur votre smartphone : de nombreuses apps demandent accès à la localisation, aux contacts ou au microphone sans raison valable.

Sécurisez vos équipements : maintenez vos systèmes d’exploitation, navigateurs et applications à jour pour bénéficier des correctifs de sécurité. Utilisez un antivirus ou une solution de sécurité reconnue sur les appareils qui en ont besoin, et chiffrez les disques de vos ordinateurs et téléphones lorsque cette option est disponible. Sur les réseaux Wi-Fi publics, évitez les connexions non chiffrées et privilégiez l’usage d’un VPN fiable si vous devez accéder à des données sensibles.

Soyez vigilant face aux tentatives d’hameçonnage (phishing) : vérifiez l’adresse de l’expéditeur, ne cliquez pas sur des liens suspects et n’ouvrez pas de pièces jointes inattendues. Apprenez à repérer les signaux typiques (fautes d’orthographe, messages pressants, demandes de données personnelles). De même, méfiez-vous des offres trop attractives ou des messages vous demandant de confirmer vos identifiants.

Enfin, pensez à sauvegarder régulièrement vos données sur un support externe ou dans un service cloud sécurisé, en veillant à chiffrer les sauvegardes si elles contiennent des informations sensibles. Ces gestes simples constituent une base solide pour améliorer la sécurité en ligne et assurer une meilleure protection des données personnelles au quotidien.

Outils, droits et bonnes pratiques avancées pour protéger vos informations

Pour aller plus loin dans la protection des données personnelles et la confidentialité des informations, il existe des outils et des démarches avancées. Connaître ses droits et exploiter des technologies de protection permet d’augmenter significativement la sécurité en ligne.

Commencez par utiliser des outils de chiffrement : pour les communications, privilégiez des messageries chiffrées de bout en bout (Signal, Telegram en mode secret, ou des alternatives open source selon vos besoins). Pour les e-mails, envisagez l’utilisation de PGP ou d’autres solutions de chiffrement, sachant que l’ergonomie peut varier. Chiffrez également vos fichiers sensibles avant de les stocker dans le cloud, et optez pour des services qui offrent un chiffrement côté client lorsque possible.

Adoptez des navigateurs et des extensions orientés vie privée : bloqueurs de traqueurs (uBlock Origin, Privacy Badger), gestionnaires de cookies et navigateurs respectueux de la confidentialité (Firefox avec protections renforcées, Brave, ou des configurations strictes de Chromium). Activez la navigation privée lorsque nécessaire, mais comprenez ses limites : elle empêche l’enregistrement local de l’historique, mais n’empêche pas le suivi par des tiers ou votre fournisseur d’accès.

Pour protéger vos comptes et données, mettez en place des procédures de gestion des accès : limitez les comptes administrateurs, créez des comptes séparés pour les usages courants et professionnels, et révisez régulièrement les accès tiers (applications connectées à vos comptes). Profitez des outils de surveillance de la vie privée : vérifiez si vos e‑mails ou données apparaissent dans des bases de données compromises via des services de surveillance de fuites, et réagissez rapidement en changeant les mots de passe et en vérifiant les paramètres de sécurité.

Connaître vos droits renforce votre autonomie : en Europe, le RGPD permet de demander l’accès, la rectification, la suppression et la portabilité des données. Ailleurs, de nombreuses juridictions offrent des recours similaires. Exercez ces droits auprès des services en ligne qui collectent vos données et demandez des informations sur la finalité et la durée de conservation. Pour les entreprises, mettez en place des politiques de confidentialité claires et des processus pour gérer les demandes d’utilisateurs.

Enfin, il est utile d’adopter une culture du doute raisonné : vérifiez les sources d’information, limitez les autorisations des applications, segmentez votre présence en ligne (comptes dédiés, adresses e‑mail alternatives), et formez-vous régulièrement aux nouvelles menaces. Combiner outils techniques, compréhension juridique et bonnes pratiques quotidiennes offre une stratégie complète pour améliorer la sécurité en ligne et la protection des données personnelles.

Cybersécurité : Protection des comptes

Sécurité des comptes en ligne : bonnes pratiques pour verrouiller vos accès

La sécurité des comptes en ligne est devenue un enjeu central pour les particuliers comme pour les entreprises. Chaque compte — messagerie, réseaux sociaux, services bancaires ou plateformes professionnelles — constitue une porte d’entrée potentielle pour des attaques. Comprendre les mécanismes d’attaque (hameçonnage, credential stuffing, attaques par force brute) permet d’adopter des pratiques concrètes pour réduire drastiquement les risques. Première mesure essentielle : utiliser des mots de passe longs, uniques et complexes pour chaque service. Un gestionnaire de mots de passe permet de générer et stocker des identifiants robustes sans les mémoriser, réduisant l’impact des fuites et des réutilisations. Une politique de mots de passe efficace combine longueur (au moins 12 à 16 caractères), mélange de lettres, chiffres et symboles, et évite les phrases ou informations facilement devinables.

La sensibilisation aux tentatives d’ingénierie sociale est également cruciale. Les e-mails et messages frauduleux cherchent souvent à créer un sentiment d’urgence pour inciter à cliquer sur un lien ou fournir ses identifiants. Vérifier l’adresse de l’expéditeur, survoler les liens pour afficher leur URL réelle et ne jamais entrer d’informations sensibles sur une page ouverte via un lien non vérifié sont des réflexes à adopter. Sur les appareils mobiles, la sécurité des comptes en ligne passe aussi par la mise à jour régulière des applications et du système d’exploitation, qui corrigent des vulnérabilités exploitées par des logiciels malveillants.

La gestion des sessions et des appareils connectés mérite attention : déconnecter les sessions inactives, vérifier périodiquement la liste des appareils autorisés et révoquer les accès suspects. Pour les environnements professionnels, l’utilisation de politiques d’accès basées sur le principe du moindre privilège limite la surface d’attaque : seuls les employés ayant besoin d’un accès disposent des droits nécessaires. Enfin, envisager une surveillance proactive via des alertes en cas de connexion inhabituelle ou de tentatives d’accès multiples complète un dispositif de protection des comptes en ligne robuste. Ces mesures, combinées à une culture de la sécurité, réduisent significativement la probabilité d’une compromission.

Authentification à deux facteurs et méthodes avancées pour renforcer l’accès

L’authentification à deux facteurs (A2F) est l’un des moyens les plus efficaces pour améliorer la protection des comptes en ligne. En ajoutant une seconde couche de vérification — généralement quelque chose que vous possédez (un appareil mobile ou une clé de sécurité) en plus de quelque chose que vous savez (mot de passe) — l’A2F rend beaucoup plus difficile l’accès aux attaquants même lorsqu’ils disposent du mot de passe. Les méthodes courantes incluent les codes temporaires générés par une application d’authentification (ex. : Google Authenticator, Authy), les SMS, et les clés physiques (ex. : YubiKey) basées sur le standard FIDO2/WebAuthn.

Pour un niveau de sécurité optimal, préférez les applications d’authentification ou les clés matérielles aux SMS. Les SMS peuvent être interceptés via des techniques de SIM swapping ou des attaques opérateur. Les clés physiques offrent une résistance maximale aux risques de cybersécurité car elles nécessitent une présence physique et ne transmettent pas de code susceptible d’être intercepté. L’intégration des options biométriques (empreinte digitale, reconnaissance faciale) sur des appareils sécurisés peut compléter l’authentification multifactorielle, à condition que la mise en œuvre respecte des standards de sécurité et de confidentialité.

La mise en place de l’A2F doit être accompagnée d’un plan de secours et de récupération : sauvegarder les codes de récupération fournis par les services, enregistrer plusieurs méthodes d’A2F (par ex. clé matérielle + application mobile), et conserver les codes dans un endroit sécurisé (gestionnaire de mots de passe ou coffre-fort physique). Pour les organisations, imposer l’A2F sur les comptes sensibles via des politiques centralisées renforce la posture de sécurité globale. Par ailleurs, la surveillance des tentatives d’authentification et l’analyse des logs aident à détecter des comportements anormaux et des risques de cybersécurité émergents. En combinant ces méthodes, on obtient une protection des comptes qui limite efficacement les vecteurs d’attaque et protège la confidentialité des utilisateurs.

Protection des données personnelles face aux risques de cybersécurité : mesures techniques et comportementales

La protection des données personnelles est indissociable de la sécurité des comptes en ligne. Lorsqu’un compte est compromis, les attaquants peuvent accéder à des informations sensibles (contacts, pièces d’identité, historiques financiers) et les exploiter pour des fraudes ou du vol d’identité. Pour limiter ces conséquences, il est essentiel d’appliquer à la fois des mesures techniques et des comportements prudents. Techniquement, chiffrez les données sensibles au repos et en transit : le chiffrement sur les appareils et l’utilisation systématique de connexions HTTPS empêchent l’interception facile des informations. Activez la sauvegarde chiffrée pour vos données critiques et limitez les permissions accordées aux applications — par exemple, restreindre l’accès aux contacts et au stockage quand ce n’est pas nécessaire.

Sur le plan comportemental, adoptez une hygiène numérique stricte : évitez de partager des informations personnelles sur des plateformes publiques, revoyez régulièrement les paramètres de confidentialité des comptes et limitez la quantité d’informations personnelles stockées sur des services en ligne. Lors de la suppression d’un compte, vérifiez que les données sont réellement effacées et non conservées indéfiniment. En cas de fuite de données, changer immédiatement les mots de passe, activer l’authentification à deux facteurs, et surveiller les comptes financiers et de messagerie pour détecter des activités suspectes. La notification rapide des institutions concernées (banque, opérateur) permet de bloquer des transactions frauduleuses et de limiter les dégâts.

Les entreprises doivent aller plus loin en menant des évaluations régulières des risques de cybersécurité, en chiffrant les bases de données, en segmentant les réseaux et en appliquant des contrôles d’accès stricts. Former les employés aux bonnes pratiques — reconnaissance du phishing, gestion des mots de passe, procédures de signalement — transforme chaque collaborateur en maillon de la chaîne de protection. Enfin, garder les logiciels à jour et appliquer des correctifs de sécurité réduit les vecteurs d’attaque connus. En combinant ces approches, la protection des données personnelles devient un processus continu qui réduit l’exposition face aux risques de cybersécurité.

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