Source : Sophie Estienne (AFP)
Après la France avec Nathalie Kosciusko-Morizet et sa charte sur le droit à l’oubli numérique; c’est Viviane Reding engage l’Europe sur l’idée que la protection des données à caractères personnel (données nominatives) est un « droit fondamental ». Elle précise également que les internautes sont en droit de « recevoir des informations claires et transparentes leur faisant savoir qui recueillera et traitera leurs données, selon quelles modalités, pour quels motifs et pendant combien de temps ».
Bonne nouvelle non ?
Rappelons juste que si les promesses n’engagent que ceux qui les croient, les chartes n’engagent que ceux qui les signent. La charte de NKM n’avait pas réussi à mobiliser Google, Yahoo, Facebook. L’europe y parviendra t’elle ? Et si ce n’est pas le cas, quelle instance mondiale serait en mesure de le faire ?
A lire : Charte du droit à l’oubli sur internet du 13/10/2010