Entre la presse écrite et Google la relation a toujours été en dent de scie, dépendant d’une certaine façon l’un de l’autre tout en se tirant dans les pattes. Aujourd’hui il semble pourtant que tout soit terminé entre Google Actualité et la Presse allemande.
En Août dernier le gouvernement allemand a voté la « Lex Google » visant à faire payer Google lorsqu’il utilise dans son moteur de recherche le même titre et chapeau qu’un article de presse. Pour contrer cette dernière, Google a décidé de tout simplement désindexer la presse allemande de son moteur de recherche Google News.
Qui est le plus perdant dans cette histoire? La question se pose.
Google, de son côté, se croit certainement en position de force pensant que la Presse a besoin de lui. Et, bien que cela soit une réalité aujourd’hui, cela n’exclue pas que la Presse allemande rebondisse comme a pu le faire la Presse brésilienne. A trop jouer l’invincible Google pourrait-il perdre ?
La Cnil, qui avait annoncé une action répressive contre Google il a quelques mois, est passé à l’action! En cette fin de mois la Cnil a mis en demeure Google et ce dernier dispose de trois mois pour se mettre en conformité avec ses attentes sous peine de sanction financière.
Cette bataille dure maintenant depuis 2012 lorsque Google fusionna les règles de confidentialité de tout ses services (une soixantaine de règles d’utilisation réunis en une seule, regroupant ainsi les informations de plusieurs services autrefois séparés). L’internaute n’est depuis plus en mesure de connaître l’utilisation qui peut être faite de ses données et les maîtriser. Google a de nombreuses fois été rappelé à l’ordre mais sans succès.
Qu’en sera-t-il à la dâte butoire? Il est vrai que l’amende maximale possible en France serait de 150 000 euros, ce qui ne fait surement pas trembler le géant du web. Cependant il n’y a pas qu’en France que Google doit rendre des comptes, l’Allemagne, Le Royaume-Unie et l’Espagne sont eux aussi dans l’attente d’action (l’amende maximum en Espagne s’élève déjà à 1 million d’euro), ce qui pourrait décider Google à répondre à leurs attentes.
Le moteur de recherche Bing tente de récupérer des internautes grâce à deux nouveaux services.
Le premier Bing boards est un service de curation de contenus, des experts, blogueurs… sont chargés de compléter les résultats de recherches par des liens, des photos etc…
Pour l’instant Microsoft n’est qu’au stade expérimental du service et cherche à amener un présence humaine dans les recherches en général. Ce service, pas encore disponible pour l’être d’ici peu et pourquoi pas sous forme d’un nouveau Pinterest ?
Ayant compris que l’éducation était une niche où il faut se placer rapidement, Microsoft propose désormais un service Bing for School. Les écoles pourront décider de s’inscrire au programme volontairement, aucun logiciel n’est requis il n’y aura qu’à se connecter à Bing.com et la redirection se fera directement vers le service. Aucune publicités ou contenus pour adultes. Microsoft a également ajouté des options renforçant la protection des données personnelles de ses petits internautes. Enfin les élèves auront la possibilité de suivre des leçons courtes conçues pour aider les élèves à asseoir leur compétence numérique. Une bonne initiative de la part de Microsoft qui se démarque bien face à certains géants du web très critiqués dans la protection de l’identité numérique.
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